Le
bonheur est la motivation
10
août
Avis
de sagesse
Aventure-toi
dans les sagesses du monde
On
y trouve des éléments essentiels
Plus
sûrs encore qu’un GPS
Pour
t’aventurer
Dans
ta propre philosophie
Inspire-toi
pour mieux inspirer
Nul
n’a d’exemples à suivre
Mais
chacun a des exemples pour aider
Carte
postale 38 10 août
Et
si nous allions chanter à Neufchâteau et même ailleurs ?!
Décidément,
août est sans doute le mois phare qui éclaire chacune de mes
années. Tant de belles choses me sont arrivées en août et même si l'une d'entre elle porte un voile un peu triste, leur beauté prend le dessus. Dans un an, cela
fera vingt ans que rassemblés par hasard ou par destin à la célèbre
semaine chantante de Neufchâteau, mon épouse et moi, allions nous
rencontrer !
« Tu
vas connaître le paradis ici ! » m'avait annoncé mon ami
David et il ne croyait pas si bien dire. Août était déjà un mois
adorable il allait devenir le mois adoré ! Août allait me
confirmer que tout ce que vous faites justement dans la vie aboutit
sur du vrai bonheur ! J'avais fermé une autre porte et août
allait ouvrir la dernière, la bonne.
Depuis, nous
sommes retournés saluer ces fous chantants qui nous avaient tant
apportés avant de nous engager dans notre grande Vie et je sais
que chanter nous plaît toujours autant.
Cette
année, Mister Corona prend toute la cover et Neufchâteau voit sa
semaine chantante reportée à 2021. J'ai du aussi me résigner à ne
pas trop chanter cette année à Dorinne où notre stage sera
ludique. Pas de comédie musicale ! Il faut bien s'adapter mais
que cela n'empêche on poussera tout de même un petit refrain pour
fêter le 25ième stage !
Demain,
j'emmènerais bien ma chérie au bord du lac chestrolais et pourquoi
pas pousser la chansonnette. Chanter, cela fait un bien fou ! Ce
n'est ni Jean, ni Aragon qui me contrediront.
« Chanter
Ce n’est pas ce qu’on vous proclame
Chanter
Il faut s’y jeter à tue-tête
A bras le cœur à fendre l’âme
Avec un seul point au programme
Celui de n’être sûr de rien
Celui de n’être sûr de rien... »
Ce n’est pas ce qu’on vous proclame
Chanter
Il faut s’y jeter à tue-tête
A bras le cœur à fendre l’âme
Avec un seul point au programme
Celui de n’être sûr de rien
Celui de n’être sûr de rien... »
ou
encore
« Au
loin les lumières s’allument
Ce papier qui me tend les bras
Chaque fois que je prends la plume
Je tremble de peur et de froid
Je vais j’hésite et je recule
Qui veut se délivrer de moi
Quel est donc ce feu qui me brûle
Qui sonne l’heure à ce beffroi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l’amour à haute voix ... »
Ce papier qui me tend les bras
Chaque fois que je prends la plume
Je tremble de peur et de froid
Je vais j’hésite et je recule
Qui veut se délivrer de moi
Quel est donc ce feu qui me brûle
Qui sonne l’heure à ce beffroi
Chante chante chante
Chante chante chante
Chante chante
Chante l’amour à haute voix ... »
Quelle
joie d'entendre des voix faire monter vos mots ! Quelle joie de
retrouver des enfants qui conservent en tête les paroles des chants
d'été que, pour eux, vous avez inventés ! Chanter, écrire
pour chanter, pour enchanter, c'est un bonheur !
La
force du chant qui monte sans musique car celle de nos intérieurs
est suffisante, la force de ses airs inoubliables, la force des
chants engagés qui rallient les partisans et forcent le respect et
les pas vers la paix. Ces chants d'un monde heureux, ces chants qui
vous relèvent, ces chants qui vous apaisent, la berceuse du soir et
l'appel du matin et tout votre orchestre est là et tient parfois au
fond d'une mémoire.
La
chanson anonyme, la chanson assassine, la chanson intime, la chanson
émotions, la chanson qui fera le tour de la terre, la chanson qui ne
mourra pas....
Et
si vous osiez ? Il y a tant de choses facile à faire et qui ne
coûtent pas ! Et si vous osiez ? Chanter ! Chanter !
Plus fort que la karaoké ! Lancez-vous dans une chanson yaourte
où votre franglais met tout en déroute !
Rassurez-vous,
si je vous croise du côté du lac de Neufchâteau, je ferai semblant
de rien sans guitare à la main. Je vous raconterais comment je vins
à ce fameux paradis et comment je n'en repartis vraiment jamais,
jamais vraiment... !
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