Le bonheur est la motivation
10 Février
Sache que si l’eau rendait beau
Il n’y en aurait jamais assez
Pour tout le monde…
Mode pilote automatique
Cela m’arrive rarement mais cela m’arrive. Les gestes machinaux, les rituels inconscients, les habitudes bien ancrées, les démarches routinières…le tout est parfois rassurant et la Vie en mode pilote automatique a sans doute l’avantage du détachement. On s’éloigne de soi-même inconsciemment et on découvre les véritables importances de son existence. On discerne dans le train-train quotidien son Essentiel.
Il se peut même qu’on prenne soudainement conscience d’une longue absence dans le temps présent. On craindrait même d’avoir dormi les yeux ouverts. On craindrait même d’être un peu fou. C’est l’ivresse du mode pilote automatique.
Personnellement, j’interpréterais cela comme un premier signe d’une forme de décrochage, une forme de déboulonnage, une fissure dans les fondations ou une ouverture dans un coin du plafond…il se passe quelque chose, il va se passer quelque chose. Dès lors, je suis attentif à tous les signes extérieurs et aux aimants que sont mes émotions : aimants à réflexions, aimants à bien-être, aimants à orientations….J’oublie le cap et les points d’horizon, je remercie le mode pilote automatique et je ferme la boutique ! Je sais qu’il est temps de prendre du temps pour moi, pour souffler, pour recharger les batteries et relancer mes lignes ! Je sais qu’il est temps de faire le point, le petit check-up de mon intérieur, le petit check-up de mon cœur, le petit check-up du bonheur…
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