Le bonheur est la motivation
13 septembre
Apprends aussi par toi-même
Comme quand tu étais enfant
Continue d’être curieux
Les curieux font avancer le monde
Et
souvent la chance leur sourit
Et si on pensionnait à vingt ans ?!
Je me suis mis en marche avec l'envie de nourrir cette réflexion amusante qui m'a traversé l'esprit titillé par une conversation partagée avec une amie. Elle me faisait comprendre qu'elle n'attendrait pas le feu vert qui équivaut au départ, le bon jour du bon mois de la bonne année.
Et si on pensionnait à vingt ans, cela voudrait dire que le travail n'existerait plus, plus vraiment mais rien n'empêcherait personne de se former...on s'amuserait à se former dans tel ou tel domaine tout en contribuant à l'essentiel de chacun: boire, manger et avoir un toit pour dormir. Chacun mettrait la main à la pâte et s'enrichir serait inutile. Les guérisseurs et les soignants seraient considérés comme d'éternels visiteurs importants et ils pourraient voyager de par le monde pour se rencontrer, se former et former. Chacun réapprendrait le travail de la terre et redécouvrirait la compagnie de tous les animaux. On planterait des arbres, des haies, on créerait des jardins suspendus et des villes tellement vertes qu'elles ressembleraient à de gros villages. Les enfants grandiraient à leur rythme et partageraient les mêmes apprentissages. Le langage serait presque inutile puisque chacun connaîtrait les besoins de l'autre. On s'affairerait à d'énormes travaux bien plus impressionnants que la construction des pyramides ! On permettrait à l'eau de circuler partout ! On garderait une part de désert parce que c'est tout de même beau un désert. On agrandirait les forêts, on rendrait aux tribus de la forêt amazonienne leur part de territoire et les enfants du monde pourraient dormir dans leur cabane. On habiterait un village bien-sûr ou une ville mais les pays n'existeraient plus que pour s'amuser car nous serions tous de la terre voilà tout ! Il n'y aurait plus que des voyages au bout du monde pour ceux qui le voudraient mais plus question de trafics polluants ! Les mers seraient des passerelles où s'aventureraient de nouvelles caravelles ! Les avions seraient devenus inutiles et les oiseaux retrouveraient tout leur espace car la conquête serait inutile ! On laisserait la lune et Mars et tout l'infini continuer à nous faire rêver et faire naître mille poésies ! Peu à peu, la nature et l'homme retrouveraient l'harmonie et l'apprivoisement permanent... même qu'un jour pour parler des morts plus personne ne regarderait le ciel parce que le paradis serait revenu sur terre !
Je marchais encore un peu, heureux de toutes ces pensées naïves et un peu folles mais tellement bienfaisantes.J'espère que mon amie sera heureuse dans sa nouvelle tranche de vie ! Je gage qu'elle songera à ses vingt ans et à tous les rêves qu'elle chérissait !
Demain, j'irai marcher encore un peu...histoire de voir...ce qui m'attend....
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