Le bonheur est la motivation
25 février
Tu planes dans l'ère de l'ecommunication
Sais-tu que les anciens marchaient
Tout en apprenant ?
Encore une belle courte échelle
Se laisser porter
Plus que le lâcher prise, si nous nous laissions porter par le temps ? Si nous nous laissions porter par ce qui finalement nous dépasse ? Si nous nous laissions porter comme les secondes, les poussières, les nuages, les cieux infinis ? Se laisser porter comme dans le ventre de la Vie, dans le ventre de l’indicible, « l’invécu », la transparence du temps…voilà qui fait du bien. Plus de prise de tête, glisser comme la coquille de noix sur l’eau, se heurter sans se briser, tournoyer sans perdre la raison, virevolter léger comme un papillon, se laisser porter et s’en aller là où nous sommes attendus sans le savoir.
Dans le ventre de la Vie, la route est longue et surprenante. Parfois cela chahute, cela crapahute, cela dispute mais toujours cela aboutit.
Dans le ventre de la Vie, rien n’a plus d’importance que l’acceptation de soi et l’acceptation de notre devenir. Nous glissons lentement vers notre part de lumière, notre part de vérité, notre part d’accomplissement, notre part d’action, de récolte et de partage.
Se laisser porter, c’est se bercer soi-même de vrais illusions et des Joies d’un bonheur extrême où le verbe aimer se conjugue sans problème.
Je suis au chaud dans le ventre du monde, le ventre de la Vie, je glisse vers qui je suis depuis le premier jour, depuis la première nuit….
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire