Le
bonheur est la motivation
18
août
Quel
est le plus beau parcours scolaire ?
Celui
qui mène à la distinction ?
Celui
qui mène à la bonne porte professionnelle ?
Celui
qui mène à l’expérience ?
Celui
parsemé de belles rencontres,
Empreintes
d’humanisme ?
Chaotiques
ou non,
Tous
les parcours sont beaux
Carte
postale 46 18 août
Effectivement
la jeunesse n'a pas d'âge
Août
2009, notre stage dorinnois souhaite un « Joyeux anniversaire à Monsieur Aufray » et ce, pour ses 80 ans...et voilà
qu'aujourd'hui, il souffle 91 bougies ! En 2009, c’était
déjà une occasion à ne pas manquer mais là, comment ne pas
raviver nos mémoires ! Qui n’a pas été touché un jour ou
l’autre par les chansons d’Hugues Aufray ?! De « Céline »
à « Stewball », de « Debout les gars » à «
Adieu Monsieur le professeur »…tant de chansons qui ont
éclairé nos camps de scouts ou de patronnés ! Combien de
veillées où la guitare et l’harmonica ont enchantés les enfants
tandis que les paroles d’Hugues Aufray se glissaient facilement
dans leurs oreilles ! Souvent même les jeunes qui ne le connaissent pas entonnent allègrement ses célèbres refrains.
Personnellement, je me souviens de « Debout les gars » et du passage :
Personnellement, je me souviens de « Debout les gars » et du passage :
- « Encore un mètre et deux et trois, en 1983, tes enfants seront fiers de toi ! »...J’avais sept, huit ans et je me disais que 1983 c’était si loin !
J'écoute
toujours avec autant de plaisir les chansons de ce troubadour que
nous avons eu la chance d'aller applaudir et accompagner en choeur lors de son
dernier passage en Belgique où il venait raconter son histoire.
" le joueur de pipeau"
Si
vous avez l'occasion de lire son livre « la jeunesse n'a pas
d'âge » et d'écouter quelques interviews vous découvrirez
les astuces et surtout le bon sens de ce chanteur fidèle à ses
choix et son cheminement.
En
tout cas, le stage 2009 reste un superbe souvenir et qui sait nous
remettrons le couvert en 2029 ! C'est ce que je souhaite de tout
cœur à Monsieur Aufray et que les veillées d'été durent encore
« long camp » et que le fameux trois mâts nous emmène loin encore et encore!
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